Mercure, planète du messager, rétrograde et nous demande de réfléchir depuis le 23 mars. Le 1er avril, il rencontrera en conjonction le Soleil et tous deux auront une petite discussion sur la lumière qu’ensemble ils souhaitent projeter sur la Terre. Nous, les humains qui n’écoutons pas toujours ce que nous entendons, serons-nous cette fois à même de comprendre cette transmission ?
Nous élaborons notre vie, notre société à partir de nos rêves, ce qui nous motive pour avancer, nous donne des ailes et nous permet de sourire chaque matin. Cette action nous réchauffe le coeur et les os, nous construisons notre avenir, fondons une famille, évoluons socialement, et cela nous permet d’exister, d’éprouver ce sentiment d’être « vivant ». La réalisation de notre rêve devrait être l’aboutissement, et nombreux sont ceux qui le considèrent ainsi.
Notre société industrielle crée des biens qui nous sont fort utiles au quotidien, facilitant beaucoup de tâches qui autrefois étaient fastidieuses. Or l’évolution, telle que cette société la conçoit, n’a pas d’objectif fini mais des objectifs infinis. Ainsi, une fois notre but atteint, si nous les humains nous contentons de ce que nous avons construit, correspondant à nos rêves, la société se charge de nous créer des « désirs » des « envies », en désaccord avec nos « besoins ».
A trop vouloir nous avons tôt fait de perdre l’essentiel qui fait notre bonheur.
Réfléchissons à cette signification. Gardons à l’esprit ce que le bonheur signifie pour nous et n’oublions pas que trop souvent, nous comprenons que nous l’avons rencontré au léger bruit qu’il fait en s’en allant.
Réfléchissons à cette signification. Gardons à l’esprit ce que le bonheur signifie pour nous et n’oublions pas que trop souvent, nous comprenons que nous l’avons rencontré au léger bruit qu’il fait en s’en allant.
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2 Responses
Il arrive parfois à petit pas, je l’ai souvent rencontré, encore une fois au Bhoutan, il y a peu de temps. Il est comme un oiseau qu’il ne faut pas effrayer, cependant partager avec lui l’amour comme des petites graines. J*
Les photos parlaient d’elles-mêmes : la plénitude habitait les lieux.