En ce moment, nous assistons à une augmentation du nombre des accidents de la route, mais aussi de leur gravité. Quelles sont les planètes qui entrent en jeu ?

Mars est entré en Verseau le 16 mai. Une telle énergie dans ce signe qui n’en a pas particulièrement besoin stimule ce Mars qui n’a plus peur de rien. Il se prend pour un pilote de formule 1, ose les sauts en parachute, ne voit pas d’objections à ses tentatives de plus en plus extravagantes.

Dans le même temps, Uranus est entré en Taureau. Ces deux planètes représentatives de l’énergie au sens le plus pur sont en désaccord. Elle ne souhaitent pas utiliser leur potentiel de la même façon et chacune tente de tirer la couette à elle.

Elles sont dans des signes fixes et ont une légère tendance à rester sur leur quant-à-soi dans un carré où le partage est proposé.

Si nous transposons cet aspect difficile sur la route, nous pouvons observer des conducteurs grisés par la vitesse, se sentant seuls au monde et pensant maitriser parfaitement leur bolide. Ils ne souhaitent pas partager l’espace avec les autres usagers de la route, quels qu’ils soient, conducteurs de voitures, motos, vélos, ou piétons et même autobus… Ils sont « chez eux ». C’est ainsi que nous observons, plus que d’ordinaire, des automobilistes ayant « acheté » la voie centrale d’une autoroute à trois voies !

Brouillard, glissage et perte de contrôle

Mais un autre aspect vient provoquer quelques glissades ou dérapages dans les gestes ou la réflexion : Neptune qui touche en demi-carré Uranus ou Mars, tour à tour. Si un conducteur déborde un peu de sa file par manque de concentration et rencontre un autre conducteur persuadé que la route lui appartient (refus du partage), le choc frontal est inévitable. De même si un automobiliste, un motard ou même un cycliste roule à forte allure il n’est pas à l’abri d’une perte de contrôle.

Tout cela n’est pas fait pour apaiser les esprits que nous sentons par ailleurs exacerbés. Mais nous devons rester prudents jusqu’à la mi-octobre, moment où les planètes vont enfin s’éloigner l’une de l’autre. Du 13 août au 11 septembre, nous aurons un certain répit qui sera le bienvenu.

Quelles solutions ? 

Et si nous essayions de partager la route, rouler cool, respecter le code de la route et ne pas nous énerver si un conducteur nous fait une queue de poisson ! Ce n’est pas tous les jours facile, mais si nous essayons en connaissance de cause, cela nous paraîtra finalement naturel !

Dans un autre registre, vous pouvez utiliser les technologies nouvelles, la communication par Internet. Mais abstenez-vous de mettre les mains dans la prise de courant, car les risques d’électrocution et de surcharge électrique sont réels. C’est aussi l’occasion de vous mettre au sport pour profiter de l’espace et décharger ce trop plein d’énergie. Mais évitez peut-être les sports automobiles ?

Et si vous sentez cette soif d’action déborder en vous, pourquoi ne pas en profiter pour initier quelque chose de nouveau dans votre vie, votre quotidien, faire preuve d’inventivité ? C’est en utilisant positivement cette force, ce turbo, ce désir d’espace que vous vous protègerez de ses effets dévastateurs.